Trente euros la séance pour casser des objets du quotidien, déguisé en RoboCop ! Exutoire à l’aliénation métro-boulot-dodo ? Défouloir des frustrations en tout genre ? Dernier avatar de la surconsommation ? Garde-fou contre la violence dans la vie réelle ? La clientèle des « salles de casse » est à 80 % féminine. Trois femmes, qui n’apparaissent pas à l’écran, témoignent de leur pratique, entre lucidité et émotion. La réalisatrice joue avec des images et des sons décalés, ce qui donne plus d’acuité encore à ses questionnements.

 

Réalisé par Pauline Senet
Image : Léa Alexandre
Son : Camille Guigueno
Montage : Adrien Clayette, Maëva Herriau